La fréquentation bat à nouveau des records, avec 48 000 entrées uniquement en salles. Comment l’expliquez-vous?

L’année passée nous nous doutions que le thème de la cuisine allait toucher un large public. En 2024, avec le hip-hop, on ne s’attendait pas à un tel plébiscite. Le fait que le festival investisse différents endroits attire de nouveaux publics. Et puis nous vivons dans une société fragmentée par les réseaux sociaux: nous avons besoin de nous retrouver. Or, le FIFF est un des seuls moments de l’année où des gens de tous les horizons peuvent vivre une émotion commune et échanger.

Est-ce que la thématique du hip-hop a permis d’attirer un public plus jeune?

Nous avions le rêve secret de refaire venir les jeunes au cinéma. Et ça a marché: certaines séances